Sissy Sonia n’a plus qu’à oublier son gros clito inutile !
Lorsque je commence un travail de féminisation sur une élève vraiment motivée – c’est-à-dire motivée pour devenir une vraie fille dotée d’une psychologie féminine –, je lui demande de porter une cage de chasteté. Ayant moi-même expérimenté la chose par le passé, j’ai constaté depuis longtemps que ce petit accessoire a des effets quasi miraculeux sur le mental masculin et s’avère très utile dans le travail de féminisation. En effet, le port prolongé ou permanent de la cage de chasteté aide l’élève à réfréner ses pulsions masculines , à oublier ses désirs masturbatoires, et l’aide donc à se consacrer des objectif plus utiles et plus nobles tels que travailler son côté féminin et développer sa sensibilité féminine.
Pour bénéficier au maximum de ses effets, il faut choisir le modèle le plus court possible , afin que le gros clito soit strictement maintenu à sa longueur de repos et ne puisse pas développer la moindre possibilité d’érection. Idem pour la largeur, qui ne doit pas excéder celle du gros clito au repos. Comme je le dis souvent, une bonne cage de chasteté est comme un bon soutien-gorge : on doit s’y sentir parfaitement maintenue , tant en longueur qu’en largeur, sans aucune marge de flottement. En clair, toute tentative d’érection doit être strictement impossible !
L’inflexible Keyholder
Bien sûr, pour que le conditionnement soit efficace, l’élève doit disposer d’une « Keyholder », qui conservera les clés de la cage et sera seule à même de décider des occasions de libération. En tant qu’enseignante en féminisation, quand je suis moi-même Keyholder d’une étudiante, celle-ci doit savoir que je n’accorde que très peu d’occasions de sortir. Cela peut paraître un peu sévère, mais le but est d’amener l’élève à se débarrasser rapidement de ses basses pulsions masculines qui nuisent à l’épanouissement de sa féminité. Et, comme l’usage de ce dispositif en 24/7 s’avère l’un des meilleurs outils pédagogiques de féminisation qui soit, les sorties se méritent !